mes haïkus

La chaleur et la douceur
Berce mon cœur
Tu es près de moi …


Tristesse et larmes
Se mélangent
A la lueur de la lune

Impossible de dire non
A l’enfant
Qui sommeille

Sous la fenêtre
Un oiseau pépie
Un chant de tristesse.

Tu es enfin près de moi
Une larme coule
Bonheur

Soleil et lune
Nuit et jour
Différence parfaite

Le papillon se pose
Sur la fleur parfaite
Couverte de rosée …

Cette nuit, la fée
N’a toujours pas trouvé
Le chemin de la lune

En chantant, j’exprime
Tout ce que je ressens pour toi
Bonheur, tristesse et joie…


Impossible
De détacher mon regard
Des étoiles qui brillent dans la nuit

Le temps panse les blessures
Mes les souvenirs restent
Inébranlables

Les saisons passent
Mais l’arbre devant moi reste
Inébranlable …

Souvent je pense
A toi qui est si loin
Mélancolie trop présente

L’elfe au regard si angélique
Cache sa mélancolie
Tristesse démesurée

Impossible de t’oublier
Car mes souvenirs sont restées là
Ancrés

L’ange d’or
Monte dans le ciel
Tel l’oiseau multicolore

Le rêve coloré
S’envole vers d’autres lieux
Pour tout simplement nous rendre heureux

La fée a trouvé
Le chemin de la lune
Fierté et joie mêlées

Doucement, elle se met
A jouer
Une musique mélancolique

Tout doucement
L’enfant ouvre les yeux
La lumière l’aveugle, brillante

Les larmes se font présentes
Déception, tristesse …
Ou tout simplement un cœur brisé…

La rose à épines
A transpercer mon cœur
Et je pleure de cette blessure d’amour

Rien ne peut me faire oublier
Ce doux visage
En ce temps printanier

Le chat ronronne
Blottit contre moi
Un petit bonheur simple et doux

Les seules blessures
Qui ne cicatrisent pas
Sont les remords du fond de notre cœur

La neige s’étend
Ne laissant rien
Au hasard …

Ce n’est pas le hasard
Ni le destin qui m’a mené près de toi
Juste le bonheur

Les sanglots et les larmes
Ne changeront rien
Tu ne reviendras pas …

La solitude est
Bien plus amer et plus douloureuse
Quand je pense à toi, qui est si loin

Les étoiles brillent
Dans le ciel si sombre
La nuit, d’un noir d’encre, tombe

Les souvenirs reviennent
Et me procurent
Une joie toute simple, mais intense

La jeune fille,
Assise sur le banc,
Est perdue dans ces pensées

Rien ne m’empêchera
De te retrouver
Même pas les guerres, ni la mort

Car l’amour
Est un sentiment si fort
Que je ne peux t’oublier

Le vent souffle et
Traverse la plaine en
Solitaire

Le jeune homme
Sert contre son cœur la
Rose qu’il va offrir

Le papillon voudrait
Juste voir une fois ce soir
Le soleil se couchait

Car, cet éphémère
Ne peut exister
Que quelques heures à peine

Mais le papillon espère
Et vole
Vers sa destinée

La fillette joue
Ces cheveux flottant au vent
Qui soupire, mélancoliquement

Aussi souvent que
Je pense à toi, je ne
Peux m’empêcher de rêver

Car tu es pour moi
Comme l’air que je respire tu
M’es vitale

Impossible d’oublier
Même les souvenirs
Les plus douloureux

Impossible de s’échapper
Du chemin
Déjà tout tracé

Les étoiles demeurent
Pour laisser les hommes
Les contempler


Mieux vaut pleurer
Qu’oublier
Car pleurer aide à avancer

Impossible
N’est pas de ce monde
Alors avance et avance

Avancer
C’est ainsi qu’il faut penser
Alors avance

Vas-y
Petit oiseau
Ne te retourne pas

Le vent te porteras
J’ai confiance en toi
Vole, ne te retourne pas

Aussi longtemps que nous
Resterons blottis l’un contre l’autre
Je soupirerai, toujours aussi heureuse

En regardant les étoiles
L’enfant se rend compte
Que le monde n’est rien

Je ne peux oublier
Cette blessure que tu m’as faite
Un soir d’hiver

Et si tout recommençait
Et si tout s’oubliait
Je ne serai plus que rien que poussière

La petite fée mélancolique
Pense à un amour
Tristesse d’un soir oublié

Milles étincelles
Coulent de ses yeux tristes
Larmes

L’hiver, doux et amer
Me fait oublier le
Chant de l’oiseau triste

Cet oiseau pleure
D’amour ou de mélancolie ?
Et ma tristesse m’envahit.


Si, rien qu’un jour, nous
Nous séparons pour ne jamais nous revoir
Laisse moi pleurer de désespoir


Si jamais je pleure
Pourras-tu seulement me consoler ?
Peur et angoisse mêlées.


La mélancolie et la tristesse
Nous rappelle à quelle point
La joie et le bonheur sont précieux

Les étoiles scintillant dans le ciel
Me rappelant
Les larmes qui ont trop souvent coulé

Si jamais j’ai peur
M’aideras-tu seulement ?
Douces amers larmes de mon corps

Ne regarde pas derrière toi
Tu n’y trouveras que des peines et
Des regrets, peut-être des joies oubliées…

L’homme se croyant coupable
Jure vengeance devant
Les morts étalés

Si seulement, soupire-t-il
J’avais pu tous les protéger
Regrets et tristes pensées

Les regrets ne changeront rien aux faits
Qui ce sont passés
Murmure le vent, indifférent à cette souffrance

Les regrets et les tristesses
Sont la preuve que le
Bonheur existe néanmoins

Le printemps à la chaleur
Douce et soyeuse
Rappelle le soleil et la brise

Si j’avais pu, murmure
Le papillon volant et voletant
Dans les branches de l’arbre tristes


Le ciel est gris et pleure
De la blessure
De l’homme

Le bleu des vagues
S’écrasant contre la roche
La fatalité…

Et si seulement
J’avais pu tout deviner ?
Se demande le vent


Du haut de la colline
Une petite fleur s’ouvre
Une nouvelle vie commence


Oublions tout, murmure la brise
Oublions tout, murmurent les amants et pourtant
Rien n’est plus précieux que les souvenirs

Si seulement nous
Avions pu resté unis
Mélancolique couple

La vie et la mort
Ne sont jamais bien loin l’un
De l’autre

L’amour et l’amitié
Ne sont pas des alliés
Vérité incontestable

Le poème et sa rime
Décrive la pensée
Du poète

Je t’aime
Ces trois petits mots si
Durs à dire

Adieu
Un mot coupant et triste
Un mot si dur à entendre

Au revoir n’est
Que la promesse
D’un retour certain

L’écrivain et sa plume
Ne font qu’un
Dans des moments comme ceux-là

Je traîne ma peine
Au-delà de ton regard
Je ne veux pas que tu pleures pour moi


Le vent, libre
Les étoiles et leur immensité
Et l’homme enchaîné par le monde et ses pensées


Comment, pourquoi ?
Se murmure le papillon
Pourquoi ne suis-je pas éternel ?

L’homme ne peut comprendre
Ce qui l’entoure car son monde
Ne se limite qu’à ce qu’il voit ou entend

Je ne peux pas croire sans voir
Je ne peux pas croire sans comprendre
Je ne suis qu’un homme

Les dieux et les hommes se
Ressemblent sans pourtant
Se comprendre

Le vent et la brise
S’unissent pour
Ne plus jamais se séparer

L’homme qui s’étonne encore
De son monde est
Appelé enfant

La reine papillon
Mélancoliquement
Pense à son amour parti depuis trop longtemps

Et si j’avais pu
En faire plus pour toi ?
Mon amour, je ne suis rien

Et si j’avais pu t’aider
Ce jour-là, mon amour ?
Serions-nous unis pour toujours ?

Serions-nous séparés si
Par ce triste jour d’été
J’étais parti ?

L’homme se pose bien trop
Souvent bien trop
De questions

Mais c’est sa nature, et
Jamais nous ne pourrons
Le changer en quoique ce soit



Je pense, je suis
Je vis et je poursuis mon chemin déjà tout tracé.
Mais suis-je vraiment heureux ?